Lancement de l’eMag’ Belle, Heureuse et en pleine Santé
Aujourd’hui, je voudrais vous présenter officiellement le petit magazine gratuit que j’ai lancé jeudi dernier. Vous êtes déjà une petite centaine à l’avoir téléchargé (j’espère que vous l’avez apprécié ?) et cela me fait bien plaisir !
Tout d’abord, parce que cela faisait deux ans que je n’avais pas travaillé, que je ne m’étais pas imposé de plages de travail, fixé de délai pour terminer. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la remise en route a été assez difficile. Autant du point de vue de la concentration, de l’efficacité, de la fluidité de mes idées (et encore pire, de celle de ma rédaction), que du point de vue fatigue : j’ai vraiment vu mes limites physiques et les quelques jours où j’ai travaillé 6 ou 7 heures dans la journée m’ont épuisée.
Mais je l’ai fait, et – au-delà de la qualité ou pas du contenu – j’ai ressenti une grande satisfaction d’être allée au bout, lorsque j’ai pu enfin le boucler. Un grand merci à ma Maman, qui m’a donné un sacré coup de main pour la mise en page de ce premier numéro, et sans laquelle il ne serait peut-être pas encore terminé lol
Partager mes connaissances avec le plus grand nombre
La deuxième raison pour laquelle je suis heureuse de voir que plusieurs dizaines de personnes ont téléchargé le mag’, c’est que j’aimerais vraiment toucher le plus grand nombre de personnes (de femmes, en l’occurrence, puisque c’est un magazine féminin… Mais bon, il n’est pas pour autant interdit aux hommes 😛 ) et éventuellement leur ouvrir de nouvelles portes qu’elles n’auraient peut-être pas eu l’idée d’explorer pour améliorer leur vie.
Je ne souhaite pas avoir un maximum d’abonnées pour avoir un maximum d’abonnées, pour flatter mon ego. Je l’écris pour partager des infos et, bien sûr, c’est aussi pour être lue, mais il n’y a aucun intérêt à demander à tout le monde de s’inscrire pour me faire plaisir.
Pourquoi est-ce que je veux absolument pouvoir le diffuser au plus grand nombre ? L’idée, c’est que plus il y aura de personnes heureuses et en pleine santé, et plus ce sera profitable au monde entier.
Quand on cite Gandhi « Sois le changement que tu voudrais voir en ce monde« , ce n’est pas juste une façon de parler ou une conception spirituelle d’illuminés vivant au pays des bisounours. Il est vraiment possible d’agir sur la planète entière en s’attachant à vivre soi-même plus heureux, plus en paix, plus en santé etc. car tout ça contribue à élever notre taux vibratoire… et donc, par ricochet, celui de notre environnement. (Si vous n’y connaissez rien en taux vibratoire, c’est justement le bon moment pour lire le premier numéro de Belle, Heureuse et en pleine Santé, il y a tout un article à ce sujet : « Êtes-vous sur la bonne fréquence » !)
Ainsi, le 11 septembre 2001, il a été enregistré – via deux satellites géostationnaires américains – une modification du champ magnétique terrestre. Un pic a, en effet, été enregistré quelques dizaines de minutes après qu’un premier avion a percuté l’une des tours du World Trade Center. A ce moment, des millions de personnes, de par le monde, avaient les yeux braqués sur les tours jumelles et leurs émotions conjointes ont entrainé une modification du champ magnétique, preuve que nos pensées et émotions sont capables d’influencer notre environnement.
De même, en 2010, une baisse de la criminalité a été enregistrée (sans pouvoir être expliquée par la police) aux Etats-Unis, suite à un mouvement de méditation transcendantale : des centaines de personnes se regroupaient et méditaient ensemble, au même moment, augmentant ainsi la positivité de la conscience collective
La masse critique de conscience
De nos jours, beaucoup de gens sont en colère contre les criminels, manifestent contre des maladies ou contre les guerres, se mobilisent pour lutter contre la violence faite aux animaux… Et parfois, la tâche paraît tellement grande qu’ils se découragent un peu, se sentent impuissants face aux changements gigantesques qu’il faudrait opérer pour que le monde devienne meilleur pour tous.
« Oui mais moi, tout seul, qu’est-ce que je peux bien changer, à mon échelle ? » Il n’y a pas de contribution qui soit insignifiante. Et si, déjà, chaque être humain se focalisait sur son propre bonheur, sur son propre bien-être, sans se soucier de la taille du travail à abattre (pour qu’il y ait plus d’amour, de respect, de compassion, moins de violence, de maladie, de catastrophes…), chacun contribuerait en réalité déjà à l’amélioration de la planète !
C’est pour cette raison que j’aimerais diffuser ce magazine auprès du plus grand nombre… Parce que 1 + 1 + 1 + 1 = Aider plus de monde à ouvrir de nouvelles portes, à prendre conscience de son pouvoir créateur, à remettre en question certains schémas mentaux, à vivre heureux et épanoui.
Connaissez-vous la théorie du centième singe ? Dans son livre, the Hundredth Monkey, Ken Keyes raconte l’expérience qui s’est produite chez des macaques japonais, sur l’île de Koshima au début des années 50. Les singes étaient nourris par des scientifiques, avec des patates douces qu’ils leur jetaient au sol. Les singes mangeaient donc des patates douces pleines de sable… Jusqu’au jour où une femelle a eu l’idée d’aller laver sa patate douce dans l’eau, avant de la manger. Au fil des années, tous les singes de l’île l’avaient imitée et lavaient tous leurs patates douces avant de les manger. Jusque là, rien d’extraordinaire.
Mais ce qui a été constaté c’est qu’à partir du moment où un certain nombre de singes a eu appris l’astuce de laver ses patates douces, cette pratique s’est répandue à d’autres communautés de singes, qui n’avaient aucune proximité géographique – et donc aucun rapport – avec les premiers. Ici, le centième singe symbolisait ce que les scientifiques appellent la masse critique. et selon cette théorie, tous les êtres d’une même espèce ont un impact les uns sur les autres. Une fois que l’on a atteint le nombre d’individus représentant le seuil de masse critique, le même comportement commence à se répéter chez tous les individus de l’espèce. Cela signifie que, si un nombre suffisant d’individus commence à penser et agir de façon aimante, joyeuse et harmonieuse, à envisager leur santé autrement, alors cela aura un impact sur toute l’humanité.
Qui sait si je ne serai pas, ou si l’une de vous que j’aurais inspirée, ou l’un de vos proches que vous aurez, à votre tour, inspiré ne sera pas ce « centième singe » qui nous fera atteindre la fameuse masse critique ?
Cela peut paraître présomptueux, mais ce projet de mag’ et ces partages sur Belle, Heureuse et en pleine Santé, c’est ma façon d’apporter ma petite pierre à l’édifice, pour contribuer au changement du monde et à l’évolution des consciences.
Comment vous pouvez m’aider à faire connaître le magazine !
Je vous ai expliqué pourquoi j’avais l’ambition de faire circuler l’information et diffuser le mag’ Belle, Heureuse et en pleine Santé. Vous pouvez m’aider en le diffusant autour de vous ! Le Mag’ s’adresse à toute femme qui souhaite plus de bonheur, de bien-être et de santé dans sa vie. Je pense que ça peut donc être le cas de presque n’importe quelle femme de votre entourage… et donc, a fortiori, toutes celles qui souffrent, sont actuellement malades, vivent une période difficile qui leur semble inextricable… toutes celles qui ne sont pas pleinement heureuses, à qui il manque un petit quelque chose pour adorer leur vie, et toutes celles qui ont l’impression de vivre des échecs à répétition.
Que faire, alors, pour m’aider ?
Si vous êtes sur facebook :
– vous pouvez liker la page Belle, Heureuse et en pleine Santé, et inviter vos contacts à faire de même (pensez à vous abonner aux publications pour être informée de tout ce qui est posté sur la page !)
– vous pouvez partager la page sur votre ou vos profils, en mode public
– vous pouvez indiquer que vous participez à l‘événement facebook « Lancement de l’eMag Belle, Heureuse et en pleine santé »
Si vous n’êtes pas sur facebook :
– vous pouvez envoyer un mail à vos contacts en leur parlant d’un nouveau petit magazine gratuit qui pourrait peut-être les intéresser 😉
– vous pouvez parler de Belle, Heureuse et en pleine Santé et de ma démarche à toutes les personnes que vous connaissez et rencontrez et à qui vous vous « sentez » de le dire
Un grand MERCI d’avance ! Mais, surtout, sentez-vous vraiment libre de ne le faire QUE si cela résonne en vous. Si vous ne le sentez pas, si vous vous poussez à le faire pour me faire plaisir, ne le faites pas. Il y a encore peu de temps, j’aurais sûrement été déçue que tout le monde ne le fasse pas, ou que mes amies ne s’inscrivent pas, même pas pour me soutenir dans ce projet ou ne me suivent pas alors que, de mon côté, j’avais peut-être soutenu un de leurs projets, à une époque… Ou bien, j’aurais vécu ça comme un échec si je n’avais pas beaucoup d’abonnés… etc.
Mais aujourd’hui, je suis dans le total lâcher-prise par rapport à tout ça. Je n’ai plus besoin de l’approbation des autres pour me sentir légitime dans ce que je fais ! On ne peut pas tous être sur la même longueur d’onde !
J’ai réussi à intégrer profondément l’idée que tout sera parfait comme ce sera et je ne vous en tiendrai pas rigueur de ne pas partager quelque chose qui ne vous parle pas. Je veux que les personnes qui s’inscriront (peut-être peu, peut-être beaucoup ?) soient des personnes qui se sentent concernées par les messages que je veux diffuser dans le magazine… des personnes pour qui ça sonnera comme une évidence… Des personnes qui seront juste sur la même longueur d’onde que moi, et puis voilà. Lisez le premier numéro et vous comprendrez de quoi je parle 😛
Bonne journée à vous !